Victoire transpartisane pour la souveraineté numérique

Lors de l’examen du projet de loi sur la préparation des Jeux olympiques, le député RN de l’Hérault Aurélien Lopez-Liguori a défendu un amendement transpartisan visant à favoriser les entreprises françaises et européennes dans les appels d’offres qui concerneront la reconnaissance algorithmique pendant les JO 2024.

Cet amendement a été le fruit d’un travail transpartisan des députés de la majorité et du groupe indépendant Liot, tous membres du même groupe d’étude sur la sécurité et la souveraineté numériques, présidé par Aurélien Lopez-Liguori.

Jeudi 23 mars, cet amendement a été adopté sans que le gouvernement ne s’y oppose.

Le groupe Rassemblement National se félicite de cette collaboration constructive de 4 groupes parlementaires différents (RN, Renaissance, Modem et LIOT) qui ont mis de côté leurs étiquettes politiques pour privilégier l’intérêt national et notre souveraineté numérique.

Mais certains, notamment des députés de la Nupes, poussent des cris d’orfraies à l’idée que des parlementaires travaillent en bonne intelligence au sein d’un groupe d’étude qui, rappelons-le, est par nature transpartisan.

Force est de constater que la Nupes préfère végéter dans ses fantasmes antifascistes et préserver un cordon sanitaire les protégeant d’une peste imaginaire, plutôt que de travailler pour l’intérêt général de notre pays.

Si les députés de la NUPES souhaitent qu’aucune productivité n’émane des groupes d’études de l’Assemblée nationale, qu’ils demandent donc l’interdiction de ces groupes d’études !

Le Rassemblement National est le premier groupe d’opposition à l’Assemblée nationale. Les députés RN ont été élus par le peuple, et il serait temps qu’enfin, les députés d’extrême-gauche respectent tous les Français et leurs représentants.