C’est officiel : le département des Alpes-Maritimes est le plus concerné par la présence de personnes fichées S pour radicalisation de toute la zone sud, devant les Bouches-du-Rhône.
Une nouvelle qui fait froid dans le dos et qui soulève une question légitime : ces bombes humaines à retardement passeront-elles à l’acte ?
Plusieurs centaines de personnes fichées au FSPRT, dont plusieurs dizaines sont d’origine étrangère en situation légale ou illégale. Une situation intenable qui demande des actes forts pour protéger les Azuréens de la menace terroriste qui a déjà meurtri notre département à deux reprises en 2016 puis en 2020.
J’ai d’ores et déjà écrit au nouveau Préfet des Alpes-Maritimes afin que soit prononcée sans plus attendre l’expulsion de ces étrangers fichés pour radicalisation. Une mesure qui aurait dû intervenir déjà 10 ans en arrière alors la France faisait face pour la première fois à la violence d’un islamisme criminel renforcé par une immigration toujours plus incontrôlée.
J’insiste sur le fait qu’il faut mener une véritable guerre préventive contre les islamistes radicaux en se servant de l’arsenal juridique existant qui permettrait par l’intermédiaire de l’article 411- 4 du code pénal de mettre hors d’état de nuire ces individus dangereux.
Il faut recenser et fermer les mosquées et salles de prières salafistes, il faut épier et traquer sans relâche les prêcheurs de haine, il faut expulser ceux qui sont étrangers et écrouer ceux qui sont Français.
Cette lutte implacable contre le terrorisme doit être menée sans transiger. Mais elle doit surtout être menée avec beaucoup de bon sens, c’est-à-dire en s’attaquant aux causes et non pas aux conséquences.
Nous n’avons eu de cesse d’alerter sur l’immigration massive et incontrôlée qui constitue la première porte d’entrée des terroristes islamistes qui commettent le pire. Cela a été le cas pour l’attentat d’Arras, celui de Bruxelles il y a quelques jours, mais aussi ceux de Nice 2016 et en 2020. À l’heure ou la menace n’a jamais été aussi élevée, à l’heure ou nos écoles sont prises pour cible, à l’heure ou des milliers de vies sont en jeu : il faut agir pour protéger la Nation menacée, pour sauver l’État de droit pris pour cible et mettre en sécurité les femmes et les hommes de notre pays.