Mme Marine Le Pen interroge M. le ministre des solidarités et de la santé sur la décision de l’Agence du médicament qui a refusé d’étendre l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement de la covid-19. Aujourd’hui aucun traitement ne fait l’unanimité pour soigner les patients touchés par la covid-19. Par conséquent, sans traitement efficace reconnu et sans risques particuliers constatés par le recours à l’hydroxychloroquine, elle demande ce qui justifie ce refus ; tant qu’aucun traitement reconnu ou vaccin n’est disponible, il convient de ne fermer aucune possibilité de soin pour les malades.